La Constitution des groupes de travail fait polémique depuis la nuit de ce mardi.

Le facilitateur a conseillé aux participants de faire deux goupes, les politiques d'un côté et la société civite de l’autre.

Les participants au dialogue ont préferé constituer 5 groupes selon leur tendance politique.

Le gouvernement, le parti au pouvoir, l'UPRONA et les partis de la mouvance ont formé leur groupe.

Leur point commun : “Pour l’amendement de la Constitution et le rapatriement de ce dialogue”.

L’opposition qui se dit radicale a constitué son propore groupe.

Il est constitué du Frodebu, Amizero y’Abarundi et d’autres qui partagent les mêmes points de vue.

Leur point commun : ‘’Non à l’amendement de la Constitution et oui au gouvernement d’Union nationale pour la mise en application des accords qui seronts conclus”.

Côté société civile, les groupes sont constitutés aussi suivant les tendances.

Ceux qui sont proches du pouvoir comme PISC-Burundi à part et d’autres dits radicaux comme OLUCOME et PARCEM d’autre part.

Le cinquième groupe est composé par les anciens chefs d’Etat.

Seul Sylvestre Ntibantunganya est membre de ce groupe car Domitien Ndayizeye et Pierre Buyoya ne sont pas encore arrivés.

Ces 5 groupes doivent étudier les 8 points présentés comme noeud du conflit burundais.

Ces points sont la question de la sécurité, la politique, les réfugiés, l’économie et l’impunité.

Il est prévu plusieurs plénières pour la restitution des procès verbaux venant de ces 5 groupes.

Un des participants dit que le concensus sera très difficile à trouver.

INFO SOS Médias Burundi