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Cinq mois sans médias indépendants, cinq mois de rumeurs, la société burundaise est affectée. Ce sont là les propos d’Agathon Rwasa, vice-président de l’assemblée nationale. Il demande au pouvoir de Bujumbura de reconsidérer sa position. Selon lui, le droit à l’information ne peut pas être exercé lorsqu’on oblige les gens à ne suivre qu’un canal tracé de l’information.
Rémy Harerimana, Télé Renaissance