avr
04
2017

Les opposants en exil ont un problème avec le pouvoir

Alors que la médiation s’active  pour convaincre  les parties prenantes  au conflit  burundais à participer  dans les pourparlers en préparation, le morceau  le plus dur reste celui de convaincre  le gouvernement  de  s’asseoir avec ceux poursuivis par la justice burundaise et ceux  à  qui il accuse d’avoir préparé  un coup  d’état  en mai 2015.

Pour AgathonRwasa, premier vice-président de l’Assemblée Nationale, les citoyens qui sont en exil le sont par rapport au pouvoir. Ce n’est pas un forum des partis politiques ou une organisation quelconque  qui va trouver les solutions aux problèmes. Pour  lui, le premier  acteur qui doit être dans les négociations est, sans conditions, le pouvoir qui a l’obligation de s’asseoir avec ses citoyens.

ITW avec AgathonRwasa

Source : Radio Culture

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