nov
19
2018

Maison Shalom Rwanda: Barankitse insiste pour plus de solidarité.

Marguerite Barankitse crie pour que les réfugiés sʼentraident puisqu’ils viennent dʼun même père։ Le Burundi.

La fondatrice de La Maison Shalom Oasis Of Peace dit avoir consternée par le fait que les réfugiés burundais ne sont pas solidaires en exil. Selon elle, il y a ceux qui vont demander des aides soi-disant intervenir pour sauver leurs paires alors que non.

Lʼexemple illustratif quʼelle met en exergue est celui de la collecte des fonds de certains burundais de Kigali pour faire soigner le nommé Trésor. Celui-ci est hospitalisé sous les frais de la Maison Shalom qui sʼélève à 1000 Usd comme le dit sa représentante. Elle regrette alors que cette collecte se fait malgré son action alors qu’il y a même des médecins réfugiés qui puissent intervenir.

Des gens peuvent se relayer pour être des garde malades de ce burundais mais rien dans ce sens, déplore Mme Barankitse. Selon elle, il faut une solidarité pour surmonter les problèmes. Il y a des réfugiés qui ont des moyens plus que dʼautres et qui peuvent aider les plus démunis en achetant du savon ou du sel, conseille-t-elle.

Elle réitère en interpellant les réfugiés de sʼentraider mutuellement car selon elle, elle a pu trouver un lieu de consolation pour les réfugiés burundais. Et de surcroit, il fallait lui emboiter le pas pour plus de cohésion entre les Burundais en exil.

English version

Marguerite BARANKITSE  insists on helping each other of Burundian refugees as they come from the same soil Burundi.

Maison Shalom Oasis Peace founder said she has realized that Burundian refugees aren’t solidarity. According to her, some ask helps saying that they are for saving refugees while they are asking them for themselves.

She gave an example of money collected by some Burundians in Kigali for treating someone named Tresor. This one is hospitalized under Maison Shalom fees, which goes till 1000 USD as it is said by its representative. She regrets that this collect is done despite her action while there are also some doctors refugee who can intervain.

People can relay for being safe keeper of that Burundian but nothing is done, Regrets Mrs. BARANKITSE. According to her, solidarity is of a paramount necessity to overcome the problems. Some refugees have means and they can help the poorest by buying soap or salt. She advised.

She reiterates by calling refugees to help each other because according to her, she found a consideration area for Burundian refugees. In addition, it should be better if her tracks can be followed in order to build cohesion between Burundian in exile.

http://eng.radiopeacefm.com/

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