sep
08
2015
Pour éviter une guerre civile
L’ONG locale PARCEM « parole et action pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités » estime que la crise que traverse le Burundi constitue une honte pour le pays. Cette ONG interpelle le gouvernement et ses opposants à s’asseoir ensemble afin d’éviter une guerre civile.
Le président de PARCEM propose cinq solutions dont l’arrêt de toute forme de violences, le retour à l’esprit des Accords d’Arusha et le rétablissement des libertés publiques pour éviter l’enlisement de la crise. Suivez Faustin Ndikumana, président de l’ONG « parole et action pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités ».
Eloge Willy Kaneza, Infos Grands Lacs
Langues:
Genre journalistique:
Thématiques: