Il y a certaines pratiques  de la culture traditionnelle burundaise  que nous avons besoin de laisser tomber et  d’autres qu’il faut garder, selon Abbé Adrien Ntabona. Adrien Ntabona a travaillé depuis longtemps comme professeur dans la faculté des lettres et sciences humaines. Aujourd’hui, il  a un travail de trier ce qui est bon dans la culture traditionnelle burundaise et dans d’autres cultures qui nous  sont importées. Il interpelle alors tous  les Burundais capables de l'aider dans ce travail.

Rémy Harerimana, Télé Renaissance